Mobility Tech Green vous présente son livre blanc, désormais accessible en ligne ! Retrouvez toutes les informations sur les tendances de l’autopartage B2B, à travers un regard objectif sur le marché et son évolution à venir, afin de déterminer la manière la plus adaptée pour l’implémenter dans votre entreprise. Suivez le guide.
Les 7 points clés de ce livre blanc
De la définition même du terme autopartage B2B à des études de cas précises, ce livre blanc vous donne toutes les clés en main pour déterminer quel sera votre autopartage.
1. Définition et enjeux de l’autopartage B2B
Qu’est-ce que l’autopartage ? Très simplement c’est un système dans lequel un groupe d’individus ayant souscrit un abonnement utilisent un parc de véhicules accessibles en libre service. Exit le véhicule de fonction personnel et bonjour la voiture à la demande ! Cela résulte en un partage plus équilibré des frais d’entretien ainsi qu’une meilleure fluidité sur les trajets. Parmi les utilisateurs, les entreprises sont particulièrement intéressées aussi bien par la réduction du CTP (Coût Total de Possession) de leur flotte que par la gestion optimisée de leurs véhicules grâce aux nouvelles technologies.
2. Les chiffres-clés
12 millions de membres à travers le monde d’ici 2020 : un chiffre qui donné une idée du dynamisme du marché de l’autopartage, qui devrait connaître une croissance fulgurante de près de 40% par an durant les prochaines années. Déjà très utilisé aux Etats-Unis et dans les pays de l’est depuis plusieurs décennies, c’est aujourd’hui le marché européen qui est en plein essor. Le nombre d’entreprises européennes ayant un service d’autopartage interne devrait passer de 200 en 2013 à 4000 d’ici 2020, soit d’à peu près 2000 véhicules à plus de 100 000.
3. Un atout quadruple bénéfice
L’autopartage pour entreprises et collectivités représente une véritable réponse à plusieurs enjeux :
- Des économies significatives sur le budget flotte automobile.
- Une amélioration de l’accessibilité aux services de mobilité grâce à des véhicules en libre-service.
- Une utilisation double des véhicules d’entreprises grâce à la mise en place d’une formule pro/perso offrant la possibilité de louer les véhicules le soir et le week-end.
- Une participation à la réduction de l’empreinte carbone de son entreprise dans le cadre d’une politique RSE.
4. Une approche multimodale à interface unique
Alors que les parcs automobiles sont de plus en plus importants, les outils de gestion papiers ou numériques ne suffisent plus à assurer les besoins des responsables de flottes. Après les plate-formes logicielles spécialisées, place au multimodal ! Le but étant de penser la mobilité d’entreprise de manière globale, en permettant aux employé.es d’utiliser différents modes de transport tout en ayant l’assurance d’être facturé via une plateforme unique.
5. L’espace partagé : quand les mobilités d’entreprises et personnelles convergent
Urbanisation et connectivité accrues ont changé notre manière d’appréhender notre mobilité personnelle au quotidien et, indirectement, notre mobilité professionnelle. Ainsi le marché B2B fait face aux mêmes problématiques que le marché B2C, avec en point principal la remise en cause de la possession de véhicules dédiés à des employés en particulier.
6. Quelles conséquences pour les salariés ?
Les pratiques de consommation collaborative investissent donc la sphère du travail, à travers le partage d’espaces et aujourd’hui de véhicules. Certains obstacles persistent encore, notamment une perception du service d’autopartage parfois considéré, à tort, comme contraignant. Mobility Tech Green vous invite à lire son étude réalisée en partenariat avec le LOUSTIC (Laboratoire d’observation des usages des technologies de l’information et de la communication, travaillant aujourd’hui au sein de la Maison des Sciences de l’Homme de Bretagne autour de la plateforme PEMI) présente dans le Livre Blanc pour en apprendre plus sur ce sujet.
7. Un regard sur le futur avec la voiture autonome
Un nouveau schéma de mobilité pourrait encore changer la donne : l’autopartage de voitures autonomes. Après l’étape actuelle des véhicules connectés, c’est en effet l’autonomie qui fait rêver les constructeurs, promettant une amélioration de la sécurité sur les routes, des centre-villes moins congestionnés et une optimisation des réservations grâce à des véhicules intelligents. Tout cela participant davantage encore à l’obsolescence du véhicule personnel.
Un véhicule non partagé est à l’arrêt en moyenne 95% de son temps. Une raison de taille pour les entreprises et collectivités de se tourner vers de nouvelles solutions, apportant des bénéfices économiques, ergonomiques et écologiques.