C’est en tout cas le résultat de l’étude de Sarah Landel pour CNRS le journal.
En 2050, il semblerait ainsi que les nouveaux usages seront prédominants. L’autopartage sera pratiqué majoritairement en ville et permettra aux citadins d’économiser tout en réduisant les émissions de GES et le traffic urbain. Plus encore, la voiture sera constamment connectée à son environnement et s’adaptera seule aux conditions de circulation, nous rappelant fortement les conclusions de l’étude d’IBM disponible ici. Enfin, en 2050, les véhicules électriques et hybrides représenteront les deux tiers du parc automobile, améliorant ainsi nettement la qualité de l’air en zone urbaine !