Ce n’est pas moins de 11 acteurs du secteur qui se sont réunis dans l’association des acteurs de l’autopartage autour d’un objectif commun : démontrer et promouvoir les bénéfices à la fois écologiques et économiques de cette mobilité partagée sur le territoire français. Lancée le 22 janvier dernier, cette association rassemble les entreprises Clem’, Citiz, Communauto, Getaround, Mobility Tech Green, Modulauto, Mov’InBlue, Sharenow, Totem Mobi, Ubeeqo et Vulog.
L’ambition principale est de devenir un interlocuteur de référence pour les pouvoirs publics en matière d’autopartage. Soutenu à la fois par le Ministère des Transports et l’ADEME, ce consortium s’est constitué durant une période charnière pour la mobilité des territoires en France. La LOM venant d’être votée, l’association compte bien participer activement aux conversations autour de l’intégration de cette mobilité alternative.
L’association proposera également un baromètre de l’autopartage en France, dès le mois de mars 2020, afin de rendre compte des chiffres clés du marché.
Les objectifs de l’AAA
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Promouvoir l’autopartage en France
Favoriser son développement
3
4
Le rendre accessible au plus grand nombre
Démontrer ses bénéfices écologiques et économiques
L’#AAA est lancée ! 11 acteurs de l’#autopartage réunis autour d’un même objectif : promouvoir les bénéfices économiques et écologiques de cette #mobilité partagée sur le territoire français.
— Mobility Tech Green (@mobitechgreen) January 22, 2020
Accrochez-vous, ça va bouger dans le monde de la mobilité ! https://t.co/Oqb06r3DC3 pic.twitter.com/EiVV3TDzJp
Le rôle de Mobility Tech Green dans l’Association des Acteurs de l’Autopartage
En tant qu’acteur important de l’autopartage en France et en Europe, avec aujourd’hui 7000 véhicules intégrés à sa solution e-Colibri™, il était évident que Mobility Tech Green fasse partie de cette association.
Nous sommes particulièrement ravis de pouvoir échanger avec nos collègues fournisseurs de solutions de mobilité. En effet, nous sommes convaincus de pouvoir faire avancer de manière collective l’adoption de ce mode de déplacement auprès des entreprises et collectivités, avec l’appui des pouvoirs publics.
L’idée est d’ouvrir le dialogue au maximum afin de créer un cadre propice au développement de l’autopartage. Tout en prenant en compte les besoins et spécificités de chaque territoire.